"Vahiné, c'est gonflé !"
Hier midi en fin de brunch dominical nous avons découvert un nouveau syndrôme que nous n'avions pas encore répertorié : le syndrôme Vahiné.
Oui, rappelez-vous la pub "Vahiné c'est gonflé" dans les années 70' ou 80' (sans doute 80', sinon je ne m'en rappelerais certainement plus !). On voyait un gros monsieur de couleur qui s'apparentait fort bien à une briochette dorée nous vanter les mérite de la levure Vahiné qui faisait gonfler les gâteaux de la ménagère en deux coups de spatule. Au final on obtenait un gros gâteau jouflu prêt à consommer ou à exploser dans le four.
Aujourd'hui, nous, jeune femmes romantiques, avons gardé de nos jeunes années ce même engouement pour la petite gonflette de nos confections culinaires et imaginaires.
Nous faisons ainsi avec la même émotion gonfler nos petites histoires en imaginant le gros gâteau caché derrière.
Aurions nous tendance à confondre macaron et pièce montée ? A cette question chacune est libre de répondre, mais sans oublier que le syndrôme fonctionne en deux temps : un "grossissement" immédiat de la moindre petite histoire, suivi par une perte de volume tout aussi rapide.